Nos savoir-faire
Toute l’expertise et le savoir-faire ancestral de l’Atelier Simon-Marq est au service de la création et de la restauration de vitraux depuis 12 générations.
Voici nos deux domaines d’expertise :
Création contemporaine
Le cœur de l’Atelier Simon-Marq bat pour la création. Il a façonné les vitraux imaginés par des artistes de renom au XXe siècle comme Marc Chagall ou Maria-Héléna Vieira da Silva et contribue ainsi à faire prospérer cet art sacré en France mais aussi dans le monde entier.
Création contemporaine
Le cœur de l’Atelier Simon-Marq bat pour la création. Il a façonné les vitraux imaginés par des artistes de renom au XXe siècle comme Marc Chagall ou Maria-Héléna Vieira da Silva et contribue ainsi à faire prospérer cet art sacré en France mais aussi dans le monde entier.
Sauvegarde du patrimoine
Les artisans de l’Atelier Simon-Marq pratiquent depuis plusieurs générations l’ensemble des opérations qui contribuent à la protection, la sauvegarde et la mise en valeur des vitraux anciens dans le strict respect des pratiques traditionnelles.
Sauvegarde du patrimoine
Les artisans de l’Atelier Simon-Marq pratiquent depuis plusieurs générations l’ensemble des opérations qui contribuent à la protection, la sauvegarde et la mise en valeur des vitraux anciens dans le strict respect des pratiques traditionnelles.
tracé de plomb
Création avec l’artiste
Subtile interprétation de l’œuvre de l’artiste, la réalisation du « tracé de plomb » requiert qualités artistiques et savoir-faire technique pour rester fidèle aux intentions de l’artiste tout en respectant les contraintes mécaniques de l’ouvrage. Il est un graphisme à part entière, réalisé sur des agrandissements du dessin original à l’échelle du vitrail lui-même.
Création avec l’artiste
Subtile interprétation de l’œuvre de l’artiste, la réalisation du « tracé de plomb » requiert qualités artistiques et savoir-faire technique pour rester fidèle aux intentions de l’artiste tout en respectant les contraintes mécaniques de l’ouvrage. Il est un graphisme à part entière, réalisé sur des agrandissements du dessin original à l’échelle du vitrail lui-même.
Report par frottis
Le frottis est le relevé exact, à taille réelle, du réseau de plombs. Il s’obtient généralement par frottement d’un corps gras ou sec sur un papier souple posé sur le panneau. Il suppose toutes les précautions nécessaires pour éviter d’endommager les verres ou la grisaille. Un travail nécessaire pour garder la mémoire d’une création ou dans le cadre d’une restauration.
Report par frottis
Le frottis est le relevé exact, à taille réelle, du réseau de plombs. Il s’obtient généralement par frottement d’un corps gras ou sec sur un papier souple posé sur le panneau. Il suppose toutes les précautions nécessaires pour éviter d’endommager les verres ou la grisaille. Un travail nécessaire pour garder la mémoire d’une création ou dans le cadre d’une restauration.
Sélection des verres
Choix de la coloration
Nous travaillons essentiellement avec des verres soufflés à la bouche fabriqués de manière artisanale à la verrerie de Saint-Just, près de Saint-Etienne, en France. La vibration des couleurs de chaque plaque de verre est intense et unique. Nous travaillons avec une large gamme de plus de 1 100 tons. La sélection des teintes est essentielle pour la réussite du projet.
Choix de la coloration
Nous travaillons essentiellement avec des verres soufflés à la bouche fabriqués de manière artisanale à la verrerie de Saint-Just, près de Saint-Etienne, en France. La vibration des couleurs de chaque plaque de verre est intense et unique. Nous travaillons avec une large gamme de plus de 1 100 tons. La sélection des teintes est essentielle pour la réussite du projet.
Coupe du verre
Le tracé de plomb dessiné sur calque est reporté sur un papier cartonné. Chaque pièce est découpée avec des ciseaux à triple lames qui soustraient l’épaisseur de la baguette, dite aussi âme de plomb. Ces calibres servent de guide pour la découpe manuelle du verre à l’aide d’une roulette de tungsten.
Coupe du verre
Le tracé de plomb dessiné sur calque est reporté sur un papier cartonné. Chaque pièce est découpée avec des ciseaux à triple lames qui soustraient l’épaisseur de la baguette, dite aussi âme de plomb. Ces calibres servent de guide pour la découpe manuelle du verre à l’aide d’une roulette de tungsten.
Traitement du verre
Peinture
Réalisée à partir d’émaux ou d’oxydes métalliques, la peinture et la grisaille sont appliquées sur le verre avant cuisson et permettent de rehausser les parties ombrées d’un motif ou d’un dessin ou bien d’apporter de subtiles nuances à la couleur originelle du verre.
Gravure
Très utilisé par Marc Chagall et aujourd’hui parfaitement maîtrisé, ce procédé permet d’obtenir des nuances dans un même morceau de verre. Il s’obtient sur des verres plaqués : sur ces verres transparents ou colorés ont été ajoutés à la fabrication une couche d’émail, qui sera plus ou moins éliminée à la gravure pour créer des dégradés. Le verre traité conserve ainsi sa transparence.
Sablage
La gravure au sablage consiste à projeter du sable fin à haute pression sur des zones précises, délimitées par un pochoir. La couche d’émail du verre plaqué est décapée et dessine ainsi des motifs très précis. Le verre devient opaque à l’endroit de l’intervention.
Assemblage
Sertissage au plomb et masticage
Les pièces de verre sont, depuis le Moyen-Âge, traditionnellement serties de plombs et maintenues ensemble grâce aux soudures réalisées à chaque intersection. Le masticage – mélange d’huile de lin, de suie, de craie et de siccatif, dans une recette propre à l’Atelier – est appliqué ensuite sur chaque panneau et assure leur étanchéité ainsi que leur rigidité.
L’Atelier utilise toujours aujourd’hui la même technique de sertissage et de masticage, éprouvées au fil du temps, qui assure une durée de vie en moyenne de 100 ans aux vitraux ainsi traités.
Sertissage au plomb et masticage
Les pièces de verre sont, depuis le Moyen-Âge, traditionnellement serties de plombs et maintenues ensemble grâce aux soudures réalisées à chaque intersection. Le masticage – mélange d’huile de lin, de suie, de craie et de siccatif, dans une recette propre à l’Atelier – est appliqué ensuite sur chaque panneau et assure leur étanchéité ainsi que leur rigidité.
L’Atelier utilise toujours aujourd’hui la même technique de sertissage et de masticage, éprouvées au fil du temps, qui assure une durée de vie en moyenne de 100 ans aux vitraux ainsi traités.
Techniques modernes
Des solutions existent de nos jours pour ne pas utiliser de plomb et ainsi explorer de nouvelles compositions graphiques. Les verres peuvent être juxtaposés et assemblés par collage sur un verre mécanique ce qui permet de créer des pièces de dimensions hors norme.
Les pièces peuvent également être assemblées entre elles par d’autres matériaux comme du laiton ou par fusion. Cette dernière technique est appelée fusing.
Techniques modernes
Des solutions existent de nos jours pour ne pas utiliser de plomb et ainsi explorer de nouvelles compositions graphiques. Les verres peuvent être juxtaposés et assemblés par collage sur un verre mécanique ce qui permet de créer des pièces de dimensions hors norme.
Les pièces peuvent également être assemblées entre elles par d’autres matériaux comme du laiton ou par fusion. Cette dernière technique est appelée fusing.
Sur site
Dépose du vitrail
De la même manière, nous procédons à la dépose des vitraux anciens et à leur repose une fois le travail de restauration effectué à l’atelier.
Dépose du vitrail
De la même manière, nous procédons à la dépose des vitraux anciens et à leur repose une fois le travail de restauration effectué à l’atelier.
Pose du vitrail
Notre atelier prend également en charge la pose de ses vitraux, dans tous types d’édifices ou habitats. Nous travaillons avec d’autres corps de métiers pour la création de châssis métalliques ou en bois. Des survitrages de protection peuvent être installés avec un chemin de plomb simplifié.
Pose du vitrail
Notre atelier prend également en charge la pose de ses vitraux, dans tous types d’édifices ou habitats. Nous travaillons avec d’autres corps de métiers pour la création de châssis métalliques ou en bois. Des survitrages de protection peuvent être installés avec un chemin de plomb simplifié.